J'ai trouvé un atricle concernant l'anxiété de séparation qui provoque souvent beaucoup de destruction à la maison, donc l'horreur du maître. Voici une petite idée.
C'est un texte publié par la SPA.
Bonne lecture :
Certains chiens font subir de lourds désagréments à leurs maîtres : destructions du mobilier,
des murs, des portes, des effets personnels... les témoignages que nous recueillons feraient
frémir les assureurs.
C’est une grande cause d’abandons et il nous est difficile de convaincre les victimes de tels dégâts que ce problème trouve sa solution en quelques jours. Pourtant...
Anxiété de séparation. Voila le terme générique regroupant tous les comportements néfastes du chien en l’absence des maîtres. Destructions, défécations, jets d’urine et aboiements incessants sont les manifestations de cette anxiété. Employer de jolis termes ne suffit pas à atténuer l’ampleur des dégâts, cela dit : il ne s’agit que d’un problème. Un seul!
Ce n’est pas une maladie mentale, pas une tare ni un “défaut de la race”. C’est un petit problème, facile à régler mais dont les conséquences sont toujours désastreuses! Ce sont les dégâts répétés, la lassitude du maître, l’exaspération de l’entourage et le manque d’information qui mènent à l’abandon.
Nous ne distribuons ni courage ni patience. Par contre, voici l’information dont vous manquiez certainement. Quelques jours seulement, votre chien ne mérite pas cela?
1) Détachement
En général, on les veut tout petits, tout chiots. C’est plus mignon et on se persuade que ce sera plus facile. On s’en persuade tellement par chez nous, qu’on retire les petits à leur mère sans se demander s’il lui restait deux ou trois choses à enseigner à sa progéniture. Comme ils ne finiront ni dentistes ni notaires, allez zou : viens vivre chez les humains, petite boule de poils. Dans son coin, la mère se dit : “ ah zut! j’ai pas eu le temps de leur apprendre le détachement. Mais bon, s’ils ne sont pas trop niais, les maîtres s’achèteront un bouquin et lui apprendront eux même ”. Erreur fatale! Les gens sont niais et les chiens ne le savent pas.
Le détachement, ce fameux travail que ne peuvent plus faire les chiennes tant nous sommes pressés consiste en cela : la mère repousse les chiots (qui jusque là restaient collés à elle) elle les ignore un certain temps et les laisse se débrouiller seuls. C’est simple non? “Vas vivre ta vie” qu’elle leur dit et arrête de me suivre comme un petit chien.
Lorsqu’on pose la question aux maîtres dont les chiens font tant de dégâts : où se trouve le chien lorsque vous êtes aux toilettes?
-“ Euh, ben, derrière la porte ” (ça ne rate jamais!)
Et voila! Je veux un chien qui revient à l’appel, je veux qu’il marche au pied et autres options, mais en attendant, mon chien me suit jusqu’aux chiottes et je trouve ça flatteur ! (il aime son papa).
Comme préambule à tout travail, il faut opérer ce détachement. Ca ne demande pas d’effort particulier, aucune qualité intellectuelle, il suffit de respecter quelques règles.
-ne plus le laisser accéder à toutes les pièces.
-ne plus le caresser à tout bout de champ.
-ne plus le laisser assister aux repas.
-ne plus lui parler comme s’il pouvait répondre
-installer son couchage aussi loin que possible des pièces où vous dormez et mangez.
Bref, lui conférer moins d’importance et le traiter plus froidement (ça ne durera pas toute la vie, ne vous en faites pas).
2) Castration sociale
C’est un terme employé par les spécialistes du comportement canin. Il désigne l’action déjà entamée au paragraphe précédent. Chez les canidés, seul le groupe dominant a accès à tout le territoire. D’ailleurs, le groupe dominant contrôle les déplacements et interdit certains accès aux subordonnés. Il contrôle aussi l’accès à la nourriture et ne supporterait pas qu’un subordonné mette son nez dans une assiette de dominant. Non mais.
En famille, ce schéma est rarement respecté. Le chien participe à toutes les activités du groupe dominant (vous) et se vautre allégrement dans des endroits auxquels seuls les dominants auraient accès. Les consignes données plus haut permettent déjà de “marginaliser” le chien par rapport au groupe dominant (toujours vous). Cette marginalisation doit être accentuée par un programme d’obéissance (plutôt que faire n’importe quoi, documentez-vous, lisez un manuel d’éducation canine ou faites appel à un professionnel).
Les résultats d’un tel programme permettront de réussir la castration sociale. Le chien ne s’identifiera plus au groupe dominant et n’en supportera que mieux la séparation.
3) Solitude
On s’en persuade trop facilement : le chien ne supporte pas la solitude, voila pourquoi il détruit tout. C’est faux! La solitude, votre chien s’en tape le coquillard! Ce n’est pas ce qui déclenche le stress. Ce qui met votre chien dans tous ses états, c’est la séparation de la personne à laquelle il est le plus attaché. Vous pourriez le laisser au milieu d’une cour de récré que les manifestations de stress ré-apparaîtraient au bout de quelques jours en l’absence de l’être chéri. Il faut donc, en famille, trouver la personne qui suscite cet état d’hyper-attachement. Ce ne sera pas bien dur (qui se plaint d’être poursuivi aux cabinets, déjà?)
4) Hyper-attachement
Nous y voilà! C’est la cause de tous nos malheurs. Cet état n’est pas agréable pour le chien.
Quant au maître, il en subit les conséquences de si coûteuse façon... qu’il n’est plus à convaincre de l’utilité de trouver une solution.
Par la modification des habitudes décrite plus haut, nous agirons lentement mais durablement sur les causes de cet état d’hyper attachement. Combattre les effets du stress sans s’attaquer à la cause serait une perte de temps. Cela dit, il n’est généralement pas envisageable de laisser subir plus longtemps les déprédations parfois graves de Mr Chien. La méthode décrite jusque là agit sur le fond. Dès à présent, nous allons déployer la batterie d’astuces nous épargnant graduellement les destructions.
5) Déritualisation
Quelles sont les principales activités de votre chien ? En cherchant bien, on peut énumérer : manger, faire pipi-caca, se promener, jouer, dormir... Mais durant son temps de veille, quelle activité l’occupe le plus longtemps? La réponse est rarement donnée. Pourtant, si l’on s’y penche un instant : il est indéniable que nos chiens occupent 98% de leur temps de veille à nous observer ! ils nous suivent, nous épient, prêtent une signification au moindre de nos gestes, les anticipent souvent. Lorsque nous vérifions que les clés de la voiture sont bien à leur place, c’est le signe d’un départ imminent. Le chien connaît ce rituel depuis belle lurette.
De la douche au café, le jingle des infos puis le brossage de dents, le choix des habits, tout ! il connaît tout par coeur! Et son stress ne fait qu’empirer à mesure que nous nous préparons, comme d’habitude.
La déritualisation consiste à simplement déplacer les indices du départ. Rien ne vous empêche de vérifier que les clés de la voiture sont bien à leur place avant de regarder le film du soir. De mettre votre veste le temps du repas de dimanche, de vous brosser les dents en rentrant du travail... Toutes les astuces sont bonnes, pourvu qu’elles participent à noyer les rituels annonciateurs du départ. Créer la confusion est très simple (et amusant pour la famille).
6) Papa s’en va
Ca y’est, papa s’en va. Comme il redoute les destructions de son chien, il s’assure que certains objets sont hors d’atteinte, qu’il y a de l’eau dans la gamelle. Il allume un fond de radio afin de tranquilliser le pauvre animal. En partant, il lui fait une petite tape en intimant “ sage, hein ! ”
Eh bien papa en sera de nouveau pour ses frais (dégâts assurés!)
S’il veut s’en sortir, dès aujourd’hui papa ignorera son chien depuis 20 minutes avant le départ. S’il doit allumer la radio, il le fera bien longtemps avant de partir. Aucune vérification de gamelle et aucun “au revoir” ne devront ponctuer son départ, pas même un regard. Cela vous semble trop dur?
Eh bien il faudra en faire autant à votre retour. Pas de caresses, pas d’engueulades même si les dégâts persistent. On vaque à ses occupations, qu’on se grille une clope ou que l’on passe un coup de fil, l’important est de ne pas prêter la moindre attention au chien. Lorsque celui ci en aura pris son parti, on pourra enfin s’étonner de sa présence à nos côtés. Tiens, un chien! J’avais oublié que tu étais là. Viens, on va faire une ballade...
7) Devant l’objet du délit.
C’est systématique, les adoptants nous relatent les destructions de leur chien en nous assurant qu’il “sait qu’il a fait une bêtise”. La preuve, il a son air de “je vais encore m’en prendre une”. C’est franchement lassant, car il faut alors expliquer pour la énième fois de quelle façon le chien utilise sa mémoire. C’est un exercice pénible car les certitudes du maître sont soutenues par une attitude du chien qui prête vraiment à confusion : il est là, tout penaud, au milieu des dégâts qu’il a faits, tout juste s’il ne s’excuse pas. Alors forcément, il sait pourquoi on l’engueule ! Hélas, logique d’humain n’est pas logique de chien.
L’exemple de la poubelle est assez parlant :
a) le chien vide la poubelle vers 15h. C’est un moment de pure extase, il évacue tout son stress en dépiautant les emballages de yaourts, patauge dans le ketchup et badigeonne l’entrée de sauce moutarde. Le pied! Moment très positif, à bien y regarder.
b) il est 17h50. Papa va rentrer, on entend déjà le ronronnement de l’ascenseur. Mon dieu! Y’a des dégueulasseries plein le couloir, papa va encore s’énerver. La porte de l’ascenseur s’ouvre à l’étage, les clés font leur petit bruit... Damnation! Y’a des trucs gluants plein le salon, papa va encore me chauffer les oreilles (car papa déteste les trucs gluants dans le salon).
c) papa entre dans l’appartement, avise les dégâts...son visage se crispe, il va émettre un son (sûrement pas gracieux). Le chien reste en retrait, la tête basse, la croupe rentrée, fouettant sa queue entre ses pattes.
Et voila. Papa va sanctionner le vilain chien. Après tout, il y a une justice, nous savons que le chien a vidé la poubelle, occasionnant les dégâts. Logique, non?
Mais voilà, dès le lendemain, vers 15h, le chien s’attaque de nouveau à la poubelle.. Ce chien est il plus stupide que la moyenne? Hélas non. Vider la poubelle est une action très positive.
Le chien ne fait pas la corrélation entre le “vidage de poubelle” et la fureur de papa. D’abord parce que papa n’est pas là pour lui botter le cul à l’instant où il s’en prend à la poubelle, ensuite parce qu’il ne fait pas le lien entre son action et les dégâts qu’elle va entraîner.
Vers 17h50, par contre, lorsque papa rentrera, il fera la corrélation entre les dégâts et la réprimande. Cela dit, il ne sait déjà plus qu’il est à l’origine de ces dégâts. Dommage, non?
Ainsi le serpent se mord la queue. Le maître sanctionne son chien pour un motif valable mais le chien, lui, trouverait tout aussi logique de se faire remonter les bretelles parce qu’il y a des tableaux plein le musée du Louvre.
Pour vous en convaincre : videz vous même la poubelle puis enfermez le chien dans la pièce. Cinq minutes après, pénétrez y à votre tour. ..son attitude vous convaincra sûrement, car cette fois, ce n’est pas lui qui a vidé la poubelle!
Pour en finir, persuadez-vous que le chien ne conjugue jamais à l’imparfait. La réprimande ne peut s’effectuer que sur le fait, en flagrant délit! Cinq minutes plus tard, c’est râpé. Aucune corrélation entre la réprimande et l’objet du délit.
Réprimander le chien pour ses dégâts de la journée est donc une attitude néfaste augmentant le stress de l’animal et induisant la crainte du maître. Persister dans cette attitude peut être cause de sévères troubles du comportement.
Comment sanctionner les destructions en notre absence.
Nous avons admis que le chien ne peut être réprimandé que sur le fait. Cela induit qu’il faut être présent. Là encore, le serpent semble se mordre la queue. Le chien détruit en notre absence donc, impossible de le réprimander.
En fait, peu importe la réprimande du maître. Si le saint-esprit pouvait s’en mêler, personne ne trouverait à s’en plaindre. Nous allons donc user de ruse, en piégeant la maison!
Ces pièges ne sont pas dangereux (tapettes à souris sans leur pointe, élastiques et répulsifs), pas de quoi appeler la S.P.A.
Habilement disposés, ces gadgets permettront de créer des associations négatives. Le chien est réprimandé en l’absence du maître par la tapette à souris (elle lui pince le nez alors qu’il tentait de soulever le couvercle de la poubelle). Du coup, la poubelle jusque là si “positive”, devient un objet belliqueux ! S’il persiste malgré la première tapette, une seconde lui claque la truffe alors qu’il fouissait dans le sac à détritus. Résultat : poubelle = mauvaises surprises!
Le chien l’associe vite à l’effet désagréable provoqué par les pièges et cesse d’évacuer son stress en fourrant son nez à cet endroit.
Le piégeage de la maison est une activité très ludique. On y prend goût, vous verrez.
Bien sûr, le stress devra tout de même trouver un exutoire. Qu’à cela ne tienne, nous lui en fournirons un.
Une corde à noeuds (en vente au rayon pour animaux) est le jouet idéal. Elle permet au chien de “dilacérer” (arracher des fibres). C’est un besoin naturel que nous allons satisfaire et même encourager. La corde à noeuds doit devenir son jouet favori. Pour cela, enduisez la d’une substance appétissante (en frottant des croquettes ou du “bouillon kub” dessus) et incitez-le fréquemment à s’en saisir.
En votre absence, il est fort probable que le chien préfère sa corde à noeuds (parfum croquettes) que les tapettes à souris qui lui sautent à la gueule dès qu’il touche au mobilier. Ce jouet offre aussi l’avantage de ne ressembler à aucun autre objet de la maison.
L’alcool à 90°, pulvérisé sur les pieds de meubles et chambranles de portes vous épargnera les arrachages de bois (fréquents car ils satisfont le besoin de “dilacération”).
9) Cuisine et dépendances.
Pensant rassurer nos chiens, nous leur laissons souvent la jouissance de toute la maisonnée, de toute ou grande partie de l’appartement Ce scrupule nous honore mais il est vecteur de stress pour le chien. Une pièce de dimensions modestes est préférable, car plus sécurisante pour lui. Vraiment! Il ne s’agit pas seulement de s’épargner des dégâts ailleurs mais bien de “rassurer” le chien en ne lui laissant qu’une pièce, aussi réduite que possible.
L’idéal serait une pièce que nous ne fréquentons pas en permanence afin qu’un minimum d’objets puissent rappeler la présence de l’être d’attachement. Evitons donc salons et chambres, ces lieux d’aisance que nous ne partageons plus. La cuisine s’y prête assez, une arrière-cuisine est idéale tout comme le fond du couloir. La salle de bains n’est pas mal non plus. Enfin bon, on fait avec ce que l’on a pourvu qu’on sache pourquoi.
10) A l’Américaine.
Les Américains ne rencontrent pas ces problèmes. Leur truc est simple : lorsqu’un chiot est vendu, les propriétaires se fournissent une cage de transport aux dimensions du chien adulte.
Cette cage devient le lieu de couchage de l’animal. On y installe une couverture, un récipient d’eau et quelques jouets. Du fait de ses dimensions, le chien s’y trouve en sécurité, elle devient même un refuge. Il ne la souille pas d’excréments, car le chien ne souille pas son environnement immédiat. De temps en temps, les maîtres referment la porte de la cage. Une poignée de minutes suffit. Le chien s’habitue ainsi à être “enfermé”, même en présence des maîtres. Lorsqu’ils s’absentent, ils ferment à nouveau la porte, s’assurant ainsi de retrouver la maison “en l’état”. Le chien s’y habitue encore. Bientôt, ils n’auront même plus à enfermer le chien lorsqu’ils partent car, naturellement, il y trouve refuge en cas de stress.
Cette “ thérapie par la cage” choque un peu les latins que nous sommes. Les scrupules sont mal placés car elle s’avère très efficace, quel que soit l’âge du chien.
La seule difficulté de ce travail consiste à rendre la cage agréable au chien. Il faut l’inviter à y prendre ses repas, l’inciter à y dormir, le féliciter lorsqu’il y pénètre et l’habituer graduellement à être enfermé puis libéré en notre présence.
11) Le bluff.
Une autre méthode permet de bons résultats. Elle est assez semblable à celle des “ faux départs”, mais en plus vicelard ! Jusque là, nous apprenons à nos chiens à ne pas manifester de stress en notre absence. Eh bien cette fois, nous allons lui laisser croire que nous ne nous absentons jamais. Voici comment procéder : régulièrement, le soir après le boulot ou bien durant les week-ends, nous allons enfermer le chien dans la cuisine (ou une quelconque pièce munie d’une porte pleine). Dès que vous aurez refermé la porte, allumez une radio posée contre la porte et disposez un linge portant votre odeur au pied de la porte. (il faut posséder une radio à piles et du linge, c’est tout.) Cet enfermement ne durera pas plus de cinq minutes pour débuter. Au terme de ce délai, on éteint la radio et on libère le chien (sans transports affectifs, merci). On peut répéter l’opération quatre à cinq fois en une soirée.
Le volume de la radio doit être assez élevé pour masquer les bruits ambiants. Vous l’avez compris, le but du rituel est d’habituer le chien à rester seul dans une pièce en lui laissant croire que vous êtes toujours à la maison (c’est d’ailleurs le cas lors des “répétitions”).
N’hésitez pas à entrer précipitamment s’il manifeste le moindre énervement et intimez l’ordre : vas coucher ! Dans la mesure où vous manifestez suffisamment votre présence, le chien croira bien vite que : cuisine + radio = papa n’est pas loin, prêt à me passer un savon si je m’énerve.
Le volume de la radio posée contre la porte vous permettra vite de vous éclipser de la maison sans que le chien vous entende. Pour lui, vous serez toujours à la maison, prêt à le réprimander s’il se manifeste.
Comme les autres, cette méthode demande un minimum de patience et une bonne série de répétitions. Elle offre l’avantage de vous épargner la déritualisation traitée plus haut. En effet, rien ne vous empêche d’enfermer le chien durant vos préparatifs de départ, avec sa radio allumée, il n’entend même pas le rasoir électrique.
En bref :
Ne plus lui laisser tout l’espace - Le traiter plus froidement, l’ignorer - Ne le caresser que lorsqu’il exécute un ordre - Installer son couchage dans une pièce réduite - Déritualiser le départ - Ne plus le laisser assister aux repas - L’ignorer à votre retour - Le laisser manger seul et après vous (près de son lieu de couchage) - Faire de l’obéissance - L’enfermer par courtes périodes dans sa pièce ou dans sa cage - Poser des pièges - Lui laisser son jouet - Faire de faux départs par périodes croissantes.
Si vous respectez ces commandements, vous atténuerez vite le stress du chien, vous épargnant ainsi les désagréments qu’il induit.
http://orgeval.spa.asso.fr/uploads/Document/64/WEB_CHEMIN_396_1184837439.pdf